0 est une plate-forme relationnelle mise à la disposition d'une communauté qui dépasse les délimitations habituelles liées aux paramètres géographiques, sociaux et ethniques. Chacun peut créer sa petite communauté et relier cette dernière à une autre. Dans l'absolu, l'interconnexion des usagers de l'Internet formerait un maillage susceptible de couvrir le monde. L'interaction sociale est l'un des principes fondamentaux du web 2.0. L'internaute se préoccupe de sa relation avec les autres, même avec ceux qu'il ne connaît pas mais avec qui il pourrait interagir. Les sites de réseaux sociaux rassemblent des communautés du monde entier qui partagent des informations, des idées, des connaissances, des services ... La participation d'un grand nombre d'internautes sur un seul site fait la force du web 2.0. L'internaute est propriétaire de ses données. Le phénomène web 2.0 n'a pas complètement changé le modèle économique de l'Internet. Les startups ne sont toutefois plus l'apanage des génies de l'informatique et des sortants d'une école de commerce qui ont les faveurs des investisseurs. Ni la technologie ni le financement ne peuvent plus constituer un frein pour un projet Internet web 2.0. Il suffit d'avoir un ordinateur et une connexion pour lancer son affaire. Les logiciels sont bon marché voire gratuits. Le marketing est toujours facilité sur les marchés de niches, ce qui ne veut pas dire que le web 2.0 n'a pas besoin d'investisseurs. Par ailleurs, cette facilité de monter un projet Internet a fait qu'un site peut lui-même devenir le produit à vendre. La revente à court terme d'un portail de services est courante. Le web 2.0 donne donc à tous les internautes la possibilité de créer autour de son site un réseau social où il y a de l'interaction entre les utilisateurs. La publication, la syndication et l'agrégation de contenus sont au coeur du système.
lundi 25 mai 2009
Le web 2.0 : définition du nouveau web
0 est une plate-forme relationnelle mise à la disposition d'une communauté qui dépasse les délimitations habituelles liées aux paramètres géographiques, sociaux et ethniques. Chacun peut créer sa petite communauté et relier cette dernière à une autre. Dans l'absolu, l'interconnexion des usagers de l'Internet formerait un maillage susceptible de couvrir le monde. L'interaction sociale est l'un des principes fondamentaux du web 2.0. L'internaute se préoccupe de sa relation avec les autres, même avec ceux qu'il ne connaît pas mais avec qui il pourrait interagir. Les sites de réseaux sociaux rassemblent des communautés du monde entier qui partagent des informations, des idées, des connaissances, des services ... La participation d'un grand nombre d'internautes sur un seul site fait la force du web 2.0. L'internaute est propriétaire de ses données. Le phénomène web 2.0 n'a pas complètement changé le modèle économique de l'Internet. Les startups ne sont toutefois plus l'apanage des génies de l'informatique et des sortants d'une école de commerce qui ont les faveurs des investisseurs. Ni la technologie ni le financement ne peuvent plus constituer un frein pour un projet Internet web 2.0. Il suffit d'avoir un ordinateur et une connexion pour lancer son affaire. Les logiciels sont bon marché voire gratuits. Le marketing est toujours facilité sur les marchés de niches, ce qui ne veut pas dire que le web 2.0 n'a pas besoin d'investisseurs. Par ailleurs, cette facilité de monter un projet Internet a fait qu'un site peut lui-même devenir le produit à vendre. La revente à court terme d'un portail de services est courante. Le web 2.0 donne donc à tous les internautes la possibilité de créer autour de son site un réseau social où il y a de l'interaction entre les utilisateurs. La publication, la syndication et l'agrégation de contenus sont au coeur du système.
mardi 12 mai 2009
Social networks are boom at the agricultural sector too
Social networks are boom at the agricultural sector too
"AGRO 2.0 started as a marketing tool from CI2T which activity is to manage integrated systems of cultivation in greenhouses, but AGRO 2.0 has had its own dynamic, thus we are thinking even to decentralize the site looking for local administrators to give each country a deserving place. The idea is and will continue being to exchange ideas through the technologies of information and agriculture. The dynamics of its development will depend on the interaction of users. The network is not managed by the administrators but for the members of the virtual community who propose topics and address them according to their own interests", explains Mr. Larios.
Information technologies were time ago exclusive for few people, with social networks exchanges and interests have increased for all people. This new generation 2.0 makes that users generate and live themselves the knowledge in Internet. Internet is not only a place for reading but to share knowledge from everywhere. AGRO 2.0 receives experts´ comments from Peru, Chile, Argentina, Morocco, Spain etc…
AGRO 2.0 is a social network for the agriculture and the environment. It is very interactive since the site and information is totally responsibility of users. "We do not have censorship, very interesting debates such as the conflicts in Argentina and Spain were very interesting discussions. We leave to follow them with certain limits of respect, we leave the interaction to make its part. The knowledge in AGRO 2.0 is created by the user", says Mr. Larios.
Mr. Larios is optimistic on the development of AGRO 2.0 which "grows in a very spectacular manner and expects the same trend. It is the new concept and future of Internet".
Des réseaux sociaux bien compartimentés ne nuisent pas à leur utilisateur
Les pages personnelles sur les réseaux sociaux - grand public comme professionnels - doivent être gérées avec soin : au niveau du contenu, de l'accès... Ce, afin d'éviter tout problème d'ingérence entre les sphères privée et professionnelle.
Les plates-formes collaboratives ont parfois des conséquences fâcheuses sur la vie professionnelle : refus d'embauche, licenciement etc.MédiaCurve a sur le sujet sondé des Américains suite au licenciement d'une employée de restaurant qui avait mis des commentaires "négatifs" à propos de son entreprise sur MySpace. Près de 60 % des interrogés estiment que cette décision va à l'encontre du respect de la vie privée. Pour Olivier Fécherolle, directeur général de Viadeo France, le problème n'est pas là : "ce qui se passe, c'est que les réseaux sociaux se sont développés et segmentés rapidement, entre site professionnels, personnels...". Or, les utilisateurs comme les employeurs en mélangent encore les usages.
Un problème d'utilisation
Résultat : la publication - et la consultation - de photos et commentaires privés sur des plates-formes accessibles à différents réseaux. "Les usagers ont tendance à accepter aussi bien les invitations de leurs amis que de leurs contacts professionnels voire d'inconnus". D'autres plates-formespeuvent être vues de tous, même des non membres. Et ces sites sont souvent ceux grand public. Par exemple une page MySpace ne nécessite aucune mise en contact ni approbation pour être consultée, ce qui a pour conséquence de rendre public tout commentaire laissé dessus. "Twitter est dans le même cas de figure" explique Olivier Fécherolle.
Le risque des réseaux publics
"Je pense qu'avec ce support d'autres cas comme celui cité dans l'enquête sont à prévoir". Et d'ajouter : "Il est important de compartimenter l'emploi que l'ont fait de ces réseaux". En ce qui concerne les réseaux professionnels, la situation est différente. Les utilisateurs y vont dans un but précis : entrer en contact avec leurs pairs. Les contenus publiés sont donc plus surveillés. Et, précise Olivier Fécherolle, "les réseaux professionnels comme Viadeo ou Linkedin garantissent en effet des niveaux de protection de la vie privée élevés, notamment en restreignant l'accès aux comptes des utilisateurs et aux différentes données personnelles".
mercredi 8 avril 2009
Avons-nous de "vrais amis" sur les sites sociaux ?
Extrait de InternetActu | 03.04.09 | 17h32 • Mis à jour le 03.04.09 | 18h13
"On le sait, les sites sociaux prennent de plus en plus d’importances dans nos usages quotidien. La dernière étude de Nielsen (.pdf) sur le sujet, souligne d’ailleurs que les sites sociaux sont devenus le 4e usage des internautes (passant devant l’e-mail, mais demeurant derrière la recherche ou l’accès aux portails d’information).
Parmi tous les chiffres disponibles sur Facebook, Cameron Marlow, sociologue chez Facebook, en a récemment publié quelques-uns d’intéressants qui précisent la teneur du graphe social qui nous relie à nos relations sur Facebook. La question à laquelle a cherché à répondre le chercheur est de savoir si Facebook permet d’augmenter la taille de nos réseaux personnels. Selon une étude des années 90, menées par plusieurs chercheurs, visant à estimer la taille des réseaux personnels de chacun, celle-ci avait estimé que le nombre de personnes que nous connaissons dans la vie variait entre 300 et 3000. Sur Facebook, le nombre moyen d’amis tourne autour de 120, rappelle le sociologue, pour un réseau qui n’a que 5 ans d’existence et qui, malgré sa forte croissance, ne recense pas encore toute la population du globe. Parmi nos relations, il y a toujours un petit groupe de personnes avec lesquelles nous communiquons de manière continue et régulière. Dans les années 90, le sociologue Peter Mardsen, avec des méthodes d’enquêtes traditionnelles, avait estimé que le nombre de personnes avec lesquelles un Américain peut discuter de questions importantes tournait autour de 3. Selon les travaux menés par Gueorgi Kossinets et Duncan Watts, qui ont analysé nos relations par e-mail, le nombre de contacts avec qui nous entretenons des relations soutenues tournerait plutôt entre 10 et 20 personnes. Mais on voit bien dans ces deux résultats qu’il y a là un biais selon le support qu’on utilise pour essayer de mesurer nos amitiés. L’étude Cameron Marlow n’évite pas cet écueil et ses résultats ne semblent pas généralisables au-delà des effets de la plateforme.
Cameron Marlow et ses collègues ont identifié 4 types de relations différentes :
- notre réseau : c’est-à-dire l’ensemble des personnes qui ont accepté d’être notre “ami”, ou plutôt d’entrer dans le cercle de nos relations affichées (voire la critique de danah boyd sur la notion “d’ami”).
- ceux avec qui on a des communications réciproques : c’est-à-dire les “amis” auxquels on répond et qui nous répondent dans cet ensemble de relation socio-technique.
- ceux avec qui il n’y a qu’une voie de communication : c’est-à-dire les “amis” où il n’y a qu’une des deux personnes qui communique, et jamais l’autre.
- ceux avec qui il y a des relations soutenues : c’est-à-dire ceux avec lesquels les échanges bidirectionnels sont soutenus et dont on regarde le profil “au moins 2 fois en 30 jours” !
Si l’on en croit les résultats obtenus par Cameron Marlow et son équipe, nos relations soutenues sont plutôt rares sur ce type de plateforme. Pour un utilisateur moyen qui compte 150 “amis”, nous établissons des relations soutenues seulement avec 5 personnes (7 si vous êtes une femme). Si votre réseau relationnel est plus petit (50 personnes), le nombre de personnes avec lesquelles vous aurez des relations soutenues sera plus faible (3 personnes pour les hommes, 4 pour les femmes). Si au contraire votre réseau relationnel est plus grand (500 personnes), le nombre de personnes avec lesquelles vous aurez des relations soutenues sera plus fort (10 pour les hommes, 16 pour les femmes). Nos relations soutenues seraient donc proportionnelles à la taille de notre réseau de relation : diminuant très très légèrement à mesure que celui-ci augmente (on passe de 0,06 % de relations soutenues sur un réseau de 50 amis à 0,02 % sur un réseau de 500 amis), à se demander, comme l’exprimait Bernard Lunh sur le ReadWriteWeb, s’il n’y a pas un effet inverse à l’échelle du réseau. Si mon réseau social est composé de trop de gens, je ne peux pas porter assez d’attention à chacun et les relations ont tendance à s’estomper.
Reste qu’en nombre relatif, l’étude vient contredire l’idée que les “réseaux sociaux en ligne ne savent pas vraiment augmenter le nombre de nos relations sociales” que nous évoquions il y a quelque temps. Visiblement, si l’on investit la plateforme (en temps, en compétences… en attention), le nombre de nos relations soutenues peut y augmenter sensiblement. Il y a là certainement un effet technique : en passant du temps et en acquérant des compétences et des savoir-faire sur Facebook, on parvient à développer nos réseaux relationnels réciproques, unidirectionnels et soutenus, comme si on arrivait à inviter le coeur de nos relations à s’y investir à mesure qu’on s’y investit soi-même. Reste à savoir si les relations soutenues correspondent à des relations fortes ou avec des proches, ou au contraire à des relations avec des gens qui maîtrisent les techniques qui sous-tendent ces systèmes sociotechniques.
L’étude de Marlow montre également qu’à mesure qu’on s’y investit, Facebook permet d’augmenter “l’empan relationnel des individus”, nous explique le sociologue Dominique Cardon. Il n’agit pas vraiment sur les liens les plus forts (famille, amant(e)s et confidents), mais sur tous les autres : “ceux avec qui on travaille, on fait du sport, ceux qu’on connaît bien, qu’on connaît peu, qu’on aimerait connaitre mieux, ceux qui s’intéressent à nous, ceux qu’on intéresse, ceux qui nous font rires, ceux qui connaissent des trucs. Facebook montre qu’il y a une très grande élasticité de ce nombre d’amis là. Comme on le voit dans l’enquête, le sexe joue un rôle important, mais également l’âge, le niveau social et culturel… Ce qui serait intéressant, c’est de décomposer les chiffres auxquels accède Marlow par variable sociologique pour montrer que notre nombre d’amis ne repose pas sur une limite naturelle, mais sur des inégalités sociales et culturelles.”
“S’il y a un effet performatif des réseaux sociaux, c’est peut-être que derrière cette prescription à exhiber et compter ses friends, on produit et on accentue des inégalités”, conclut Dominique Cardon.
Via The Economist, danah boyd et Thibaut Thomas."
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/04/03/avons-nous-de-vrais-amis-sur-les-sites-sociaux_1176457_651865.html
mercredi 1 avril 2009
Viadeo fait encore parler de lui…
Ancien viaduc, viadeo compte aujourd’hui plus de 7 millions de membres. Il apparaît comme le réseau social professionnel leader en France et en Europe. Idéal pour échanger sur des centres d’intérêts communs, pour la recherche d’opportunités professionnelles mais aussi comme une véritable plateforme d’échange entre professionnels d’un même secteur. Viadeo ne cesse de se développer et offre à ses membres depuis quelques semaines une nouvelle version plus ergonomique, simple d’utilisation et efficace.
Le site Espacemanager publie un très intéressant entretien de Dan Serfaty, l'un des co-fondateurs de la plateforme professionnelle Viadeo.
Selon Dan Serfaty (l’un des créateurs de viadeo) dans un récent entretien : "Aujourd’hui, de plus en plus de sociétés sont créées avec un point commun de réseau social. La notion de graphe social est alors apparue. Le principe d’un graphe social est simple : ce dernier représente un ensemble de points de connexions et l’information circule tout au long du graphe et dans les deux sens. La tendance est donc dans les graphes sociaux avec les sites de e-commerce et avec les informations concernant les liens avec mon réseau social. C’est donc en se basant sur ce phénomène que les réseaux sociaux professionnels (RSP) voient le jour. Avec ces derniers, la notion de profil apparait. Avant les sites communautaires comme Facebook et autres, chaque personne pouvait créer un nom et des informations même bidons, ce qui ne peut être le cas dans un réseau social professionnel. En partant de ce principe et ayant compris que sur les sites de recherche d’emplois comme Monster, les salariés n’osaient pas y poster leurs CVs car les RH des entreprises y avaient accès facilement, l’idée sur Viadéo était que chaque personne (salarié ou autre) puisse avoir un profil et y poster son CV sans être inquiétée par les RH ou les directeurs des entreprises où elle est déjà employée. Le réseau social professionnel devient alors un véritable outil pour la gestion de carrière et pour le Networking et représente un terrain riche et intéressant pour les chasseurs de têtes.
(...)
On peut classer les réseaux sociaux en trois grandes catégories, tout d’abord les sites que vous connaissez bien qu’on classe dans les loisirs et la socialisation sont les sites communautaires comme Facebook, MySpace et autres, les sites concernant la gestion de carrière et le business comme www.viadeo.fr www.lnkedin.com et www.xing.com et enfin les sites de rencontres comme www.meetic.com etc."
Affaire à suivre…
Vincent Fonverne
vendredi 23 janvier 2009
Google met fin aux publicités papier et lance des publicités dans les recherches images
"Google continue sa litanie de suppression de ses programmes non rentables et chaque semaine amène son nouveau lot de nouvelles allant dans ce sens. Hier, c'est le programme "Print Ads" de publicité dans les journaux et magazines papier qui a fermé ses portes officiellement. Cette incursion de la société américaine dans le "offline" avec une extension de ses programmes publicitaires dans la presse (jusqu'à 800 journaux américains avaient testé l'offre) n'aura donc pas survécu aux expérimentations effectuées depuis novembre 2006.
L'expérience avait pourtant été présentée comme un "succès" par Google à l'époque. Peut-être pas assez pour survivre à la crise... "Nous continuerons à mettre en place une équipe pour réfléchir à la meilleure façon d'aider la presse américaine, mais il est clair que l'offre Print Ads dans sa forme actuelle n'était pas la bonne solution, indique Spencer Spinnell, responsable du programme. On ne saurait être plus clair...
Des publicités dans Google Images
Petite révolution actuellement sur le moteur de recherche Google Images avec, pour certains utilisateurs, des publicités sur les pages de résultats qui, jusqu'à maintenant, n'avait jamais accueilli ce type de lien sponsorisé, en dehors d'expérimentations momentanées."
lundi 5 janvier 2009
Flock : nouvelle version du navigateur Web 2.0
A retrouver sur : http://www.generation-nt.com/telecharger-flock-navigateur-web-2-0-logiciels-libres-actualite-208691.html
"Flock : nouvelle version du navigateur Web 2.0"
"29/12/2008 09:30 par Dimitri T. "
On ne le présente plus vraiment aux lecteurs de GNT, mais pour ceux qui le découvrent, Flock est un navigateur Internet libre développé pour les internautes adeptes des services revendiqués du " Web 2.0 ". Flock s'appuie plus précisément sur le navigateur Internet soutenu par la Fondation Mozilla, à savoir Firefox, et en reprend d'ailleurs les principaux atouts comme l'interface claire et agréable, les nombreuses fonctions, les extensions disponibles en nombre sur la Toile et la compatibilité avec les environnements Windows, Macintosh et Linux.Estampillée 2.0.3, c'est une troisième mise à jour de sécurité depuis la version 2.0 d'octobre dernier qui vient de faire son apparition sur le site officiel. Les notes de version qui l'accompagnent annoncent l'appui sur la dernière mouture 3.0.5 de Firefox ( corrections de failles, meilleure stabilité, nouvelles langues, etc. ), la mise à jour du lecteur Flash, la suppression des services Pownce et Piczo, le blocage de l'extension Cooliris pour des soucis de plantage et diverses corrections de bogues concernant AOL, Digg, Gmail, Yahoo! Mail et YouTube."